La crise financière a éclaté en Europe dans le courant de l’année 2010. Elle a pris des proportions inquiétantes en 2011 et menace maintenant de faire imploser l’espace économique européen. L’origine de la crise financière trouve ses racines dans l’évolution inquiétante des déficits publics et surtout dans la volonté des gouvernements européens d’endiguer cette évolution alarmante.

Les premiers constats

Quatorze États membres de l’UE affichent une dette publique supérieure à 60 % du PIB en 2010. Il s’agit de la Grèce (124,9 %), l’Italie (118,2 %), la Belgique (99 %), le Portugal (85,8 %), la France (83,6 %), le Royaume-Uni (79 %), la Hongrie (78,9 %), l’Allemagne (78,8 %), l’Irlande (77,3 %), Malte (71,5 %), l’Autriche (70,2 %), les Pays-Bas (66,3 %), l’Espagne (64,9 %) et Chypre (62,3 %).

Ce constat a engendré une première conséquence: les agences internationales de notation commencent à s’intéresser à la faculté des états membres d’honorer leurs obligations souveraines. Ainsi, la France et la Belgique ont récemment perdu leur fameux triple A et les perspectives à long terme sont majoritairement négatives pour beaucoup de pays membres. Cela signifie que les taux d’intérêts pour les états membres pourraient évoluer à la hausse et alourdir la charge des états à se financer sur le marché et compliquer le financement du déficit entre les recettes et les dépenses nationales.

A qui la responsabilité ?

La responsabilité des banques dans cette évolution est importante. En effet, beaucoup d’établissements bancaires de renom (BNP Paribas, BelFius, Le Crédit Agricole,…) ont acheté de la dette souveraine d’Etats fortement endettés. Ces établissements ont spéculé sur les taux d’intérêts élevés offerts par ces pays en minimisant le risque de faillite. Or, il s’avère que certains pays pourraient ne pas être en mesure d’honorer leurs obligations (comme la Grèce) et entraîner dans leur chute leurs créanciers c’est-à-dire les banques prêteuses.

La réaction des gouvernements des Etats membres ont été de trois ordres : un refinancement des banques au bord de la faillite. Ce refinancement s’est couplé d’une prise de participation quasi majoritaire des Etats dans les banques sous tutelle (la nationalisation) et bien entendu de ce fait, un contrôle accru par les Etats des activités bancaires. Ces interventions nécessaires ont hélas des effets néfastes sur l’économie réelle et notamment une redéfinition des politiques du crédit. 

L’impact sur le crédit

Dès le premier trimestre 2012, les effets négatifs sur l’activité économique sont évidents : une réduction des crédits hypothécaires en France de 47 %, une diminution des ventes de voitures européennes de près de 27 % et en Belgique une augmentation du nombre des faillites de 26 %. En ce domaine, il s’avère que certaines entreprises qui tombent en faillite ont pourtant des carnets de commande bien remplis mais ne savent plus accéder au marché du crédit tellement les établissements bancaires pratiquent dorénavant des politiques strictes et prudentes.

Dans cette situation, les courtiers indépendants en crédit, comme le Crédit Populaire Européen, pourrait bien avoir un rôle fondamental à jouer dans la continuité de l’économie réelle. En effet, le Crédit Populaire Européen travaille avec des banques spécialisées dans le crédit (Elantis, Krefima, Record, etc…). Certaines de ces banques n’offrent d’ailleurs pas de services classiques (agence bancaire, compte épargne, compte courant). Elles ne sont spécialisées que dans l’octroi de crédit et ne recevant pas d’épargne, elles ne spéculent pas non plus. En d’autres termes, la crise financière n’a pour ainsi dire pas changé leur approche du crédit.

Au Crédit Populaire Européen nous croyons que les courtiers en crédit sont maintenant à même de proposer un accès au crédit plus facile qu’auprès des établissements classiques ordinaires.

crédit hypothécaire

Nous traversons une crise financière importante depuis 2008. Quelle est réellement son impact sur le marché du crédit hypothécaire ? L’année 2012 aura vu une contraction du marché hypothécaire d’environ 30% mais les causes de ce ralentissement ne sont pas toujours celles que l’on s’imagine. Rapide aperçu sur cette question importante.

Résultats en matière de crédit hypothécaire en 2012

Alors qu’en 2010, quelque 275.899 crédits hypothécaires avaient été contractés, et même 325.454 en 2011, l’an dernier a vu ce marché fortement reculer : selon les données publiées fin janvier par l’Union professionnelle du crédit : 220.124 emprunts ont été souscrits en 2012, soit une chute de plus de 30 %.

Cette baisse « est largement imputable à la suppression, depuis fin 2011, d’une série d’incitants pour le marché de la rénovation, comme la déduction fiscale pour un grand nombre d’investissements économiseurs d’énergie, ainsi que la fin de la mesure relative au crédit vert avec bonification d’intérêt », expliquent les professionnels du crédit. « Les incertitudes générées par le contexte socio-économique et la baisse de confiance des consommateurs ne sont pas non plus étrangères à cette évolution. »

Une ventilation confirme cette analyse puisque le recul (entre 2011 et 2012) atteint 60 % pour les « crédits à la rénovation » et 36 % pour ceux « à la construction » pendant que les emprunts en vue d’un achat ne diminuent que de 10 % environ.

Fin 2012, cette dernière catégorie représentait un montant moyen de 138.157 euros. Au total, plus de 21 milliards d’euros ont été prêtés par les différents acteurs du marché en 2012, portant l’encours total des crédits hypothécaires à environ 180 milliards d’euros fin décembre.

Taux fixe ou taux variable ?

Les taux fixes confirment par ailleurs leur regain de forme : les loyers de l’argent à caractère variable n’ont séduit que deux clients sur dix en 2012, et trois en 2011. En 2009 et 2010, plus de la moitié des crédits hypothécaires étaient à taux variables. Ce retour vers plus de sûreté s’explique essentiellement par la réduction de l’écart entre les taux fixes et variables ces deux dernières années, rendant les premiers, dans un équilibre entre risque et gain, plus intéressants.

Profil type des clients ?

Le premier acteur du marché hypothécaire, ce sont les « jeunes » qui disposent d’un capital de 50.000 euros « en mains propres » lorsqu’ils poussent la porte de la banque pour négocier un crédit hypothécaire. Environ 30 % de ces jeunes ont moins de trente ans et empruntent en moyenne 154.570 euros pour s’offrir un logement. Le montant mensuel moyen de remboursement s’élevait à 751 euros en 2012 (714 euros en 2011).

Les banques ont bien compris cette tendance et ont développés récemment des produits ciblant les séniors et les indépendants.

Tendance ?

Les taux d’intérêts vont rester bas en 2013 et conféreront la primauté des taux fixes. Par ailleurs, les banques élargissent le spectre de leurs clients essayant de toucher les séniors et les indépendants.

La durée des emprunts a tendance à s’allonger : 25 ans n’est plus une exception.

Le crédit hypothécaire devient aussi un produit utilisé pour les emprunteurs en difficultés ou pour les indépendants qui n’ont d’autres garanties à offrir pour accéder au marché du crédit. Informez-vous !

Chaque jour dans l’actualité, dans les médias, nous entendons parler de la crise du crédit et des mesures d’austérité pour relancer la croissance.

Vous n’avez pas pris le train en marche et honnêtement, vous n’y comprenez plus rien.

Voici un rapide tour d’horizon pour vous mettre à la page.

La crise financière en Europe

Les constats sont sans appel : le chômage en Europe atteint aujourd’hui près de 11% de la population active, un record. Chaque mois, s’ajoute –  au rythme actuel des pertes d’emploi –  près de 200.000 chômeurs de plus. En France, par exemple, c’est près de 1.500 personnes qui perdent leur emploi chaque jour…

Couplé à cela, il faut ajouter que nombre de pays européens ainsi que l’ensemble de l’Europe est en récession c’est-à-dire que la croissance est négative depuis au moins deux trimestres consécutifs. La Grèce est, par exemple, en récession depuis plus de 5 ans…

Origine de la crise

Il faut distinguer trois origines à cette crise financière majeure qui a débuté en 2008 :

  • La mauvaise gestion des finances publiques : en effet, les dettes souveraines des pays membres de l’Europe augmentent chaque année. Pour beaucoup de pays, cette dette publique atteint près de 100 % du PIB. Certains pays comme l’Italie et la Grèce présentent des déficits publics de plus de 120 % du PIB. L’origine de ces déficits réside dans la faiblesse des recettes publiques par rapport au coût de fonctionnement des Etats. En résumé, les pays européens dépensent trop. Ils vivent au dessus de leurs moyens.
  • Effondrement des marchés immobiliers et la mauvaise santé financière de certaines banques : la crise du crédit vient principalement des Etats-Unis mais aussi de l’Espagne. Ces deux pays ont en commun d’avoir spéculé sur l’augmentation sans limite des marchés immobiliers. Ainsi, les banques US et espagnoles ont prêté beaucoup d’argent à des emprunteurs qui n’avaient pas les moyens d’acquérir des biens immobiliers de la valeur proposée. Ces banques ont ainsi spéculé sur l’augmentation des marchés immobiliers pour compenser le risque financier en cas de défaut de paiement. Malheureusement, les marchés immobiliers se sont effondrés. Les emprunteurs n’ont plus pu rembourser leurs crédits et certaines banques ont du enregistrer des pertes financières les mettant ainsi au bord de la faillite.
  • La spéculation financière des banques : beaucoup de banques  – et pour ainsi dire toutes les banques –  ont spéculé avec la mauvaise santé financière des Etats membres du sud l’Union économique. Elles ont acheté massivement des emprunts obligataires des pays en difficultés dont les titres offraient en contrepartie des retours importants, notamment des titres de la dette grecque. Malheureusement ces banques n’ont jamais imaginé qu’un pays pourrait tomber en faillite et faire défaut. C’est pourtant ce qui est arrivé à la Grèce et pour sauver ce pays, il a fallu lui accorder des réductions gigantesques sur ses dettes publiques. En d’autres mots, les détenteurs d’emprunts obligataires grecques ont vu leurs créances être réduites de près de 70 %, ce qui a encore une fois précipité des banques, détentrices de ces titres, au bord de la faillite. C’est exactement, ce qui est arrivé à Chypre qui détenait massivement du papier grec.

Conséquences

Il y a essentiellement deux conséquences à cette situation délicate.

  • Il y a lieu de réduire les déficits publics dans les pays de l’Europe. En résumé, les pays européens devraient tenter de générer des recettes supérieures à leurs coûts, ce qui n’est pas le cas actuellement.
  • Il faut procéder au refinancement des banques en grandes difficultés financières. En effet les banques étant le moteur de l’économie, si ces banques n’ont plus de liquidités, elles ne peuvent plus prêter de l’argent à l’économie réelle et c’est alors toute la chaine de production- consommation qui est touchée. Actuellement, c’est le cas et c’est ce qui explique la situation de récession.

Austérité ou relance ?

Pour endiguer cette situation, deux politiques se font face :

  • Les politiques d’austérité qui consistent essentiellement à réduire les dépenses des états et à augmenter les recettes publiques via de nouveaux prélèvements fiscaux et par la réduction des avantages sociaux.
  • Les politiques de relance de l’activité économique qui consisteraient à favoriser les outils de production pour relancer l’activité économique, diminuer le chômage et générer des nouvelles recettes fiscales.

Quel avenir pour quel Europe ?

L’Europe est allée beaucoup trop loin dans sa politique sociale et le modèle social dont elle se targue tant tue sa compétitivité par rapport aux autres régions du monde. Dans ces conditions, la tentation pour les industriels de délocaliser leur production est grande et cela entraîne les fermetures d’usines et d’entreprise que nous connaissons.

L’Europe devra pour redevenir compétitive s’adapter sur les réalités des autres régions du monde sans quoi elle est vouée à devenir un cimetière industriel et social.

Opérer cette mutation économique, sociale et politique en Europe pourrait bien durer au moins 15 ans – notamment à cause de la puissance des syndicats et de la complexité de nos codes du travail – de quoi probablement mettre en difficulté une génération de travailleurs.

En Belgique, on vend chaque année plus de voitures d’occasion que de voitures neuves. En effet, pas loin de 500.000 véhicules neufs sont vendus en Belgique alors que le marché de l’occasion porte, en ce qui le concerne, sur un nombre de véhicules qui avoisine les 700.000 unités. Quelques petites astuces pour vous permettre de faire votre crédit auto en pleine connaissance de cause.

Quand considère-t-on que le véhicule entre dans la catégorie des véhicules neufs ?

En matière de financement auto, vous bénéficiez des conditions avantageuses et d’un taeg réduit tant que le véhicule convoité a moins de trois ans depuis la première mise en circulation. Passé trois ans, il faudra considérer qu’il s’agit d’un véhicule d’occasion.

Financement auto ou prêt à tempérament ?

Il s’agit d’une autre distinction importante à garder en mémoire. Si vous achetez votre véhicule chez un professionnel de la vente d’occasion – actuellement toutes les marques de voiture ont un département « voitures d’occasion » – vous pourrez faire un financement auto et bénéficier d’un taux réduit.

Si par contre, vous achetez votre voiture d’occasion auprès d’un particulier, vous ne pourrez pas faire un financement auto. Vous devrez faire un prêt à tempérament avec des conditions moins avantageuses.

Pourquoi une telle distinction ?

Tout simplement à cause de la garantie accessoire à la vente du véhicule d’occasion. En effet, lorsque vous achetez une voiture d’occasion auprès d’un particulier, vous ne bénéficiez d’aucune garantie sur le véhicule.

Par contre, si vous achetez votre voiture d’occasion auprès d’un vendeur professionnel (un garagiste donc), celui-ci est tenu de vous accorder une garantie pièces et main d’œuvre d’au moins une année et peut – si vous négociez bien – porter cette garantie à deux ans. Il s’agit d’une disposition légale à laquelle le vendeur professionnel ne peut se soustraire.

Dès lors que votre organisme de crédit jouit de garantie supplémentaire sur l’objet du crédit, il est normal que le taeg qui affecte votre crédit voiture d’occasion soit réduit et plus intéressant.

crédit voitureIl est tout à fait possible de faire un crédit voiture sans apport. En réalité, un apport d’argent ne changera rien à votre TAEG.

Faire un apport d’argent pour acheter un véhicule pourra cependant avoir une incidence sur l’acceptation de votre demande de crédit par l’organisme prêteur. Il est bien évident qu’une banque accueillera toujours de manière favorable la demande de crédit d’un emprunteur qui possède déjà les liquidités pour payer une partie du prix de la voiture.

Financement de tout ou partie du véhicule

Il est tout à fait possible de ne financer qu’une partie du véhicule et de payer la valeur résiduelle un terme du contrat de crédit. La valeur résiduelle peut aller de 30 à 40 % du montant du capital emprunté. Notons que cette formule est particulièrement intéressante pour les personnes qui sont amenées à changer de véhicule tous les 4 ou 5 ans. Nous reviendrons sur cette formule très intéressante dans notre prochain article.

Autres points importants pour le financement de votre véhicule

Financement voiture neuve ou d’occasion ?

Le financement voiture est un type de crédit particulier qui répond à des règles particulières. Ainsi, vous ne pouvez acheter qu’un véhicule immatriculé en Belgique ou au Luxembourg. Vous devez fournir la facture d’achat et votre organisme prêteur paiera directement le garage qui vous vend le véhicule.

Le TAEG est différent selon que le véhicule est neuf ou d’occasion. Un véhicule est considéré neuf jusqu’à 3 ans après la première mise en circulation. Le TAEG est moindre pour les véhicules neufs. Cette tarification est fonction du marché.

Les conditions du financement Crédit voiture sans apport

Il n’y a pas limite de montant en ce qui concerne un financement auto et la durée des remboursements est en général de 4 à 5 ans mais peut aller jusqu’à 7 ans dans certains cas.

Financement d’un véhicule d’occasion entre particuliers ?

En Belgique, le financement voiture n’est plus accepté entre particuliers. Dans ce cas, la personne qui achète un véhicule d’occasion à un particulier doit faire un prêt à tempérament. Le Taeg est plus intéressant pour un financement voiture que pour un prêt à tempérament car le véhicule vendu par un garagiste est assorti des garanties propres aux vendeurs professionnels (certains garages garantissent la voiture d’occasion jusqu’à 4 ans).

Informations importantes sur le credit auto sans apport

Lorsque vous contractez un prêt auto pour acheter votre voiture, vous vous donnez la possibilité d’acheter la voiture alors que vous n’avez pas tout l’argent.

Vous pouvez utiliser un crédit auto pour acheter une voiture neuve ou d’occasion auprès d’une banque. Il s’agit d’une ligne de crédit, et vous devrez rembourser la banque dans un délai et à un taux déterminés par la banque.

Des différences existent entre les banques proposant des crédits auto, il est donc utile de comparer les contrats entre elles. Vous pouvez trouver les termes les moins chers ou choisir les termes qui conviennent le mieux à votre situation personnelle.

Emprunter de l’argent coûte de l’argent, alors assurez-vous de comparer les taux et d’obtenir le plus bas. Savoir de quoi vous parlez vous fera économiser de l’argent.

Enfin, Cpe crédit affiche les taux en vigueur proposés sur notre site. Nous modifions périodiquement le taux d’intérêt. Afin que les gens puissent voir où ils pourraient obtenir le meilleur taux de prêt automobile.

crédit hypothécaire, prix de l'immobilier, pret hypothecaire

Depuis plusieurs décennies les prix de l’immobilier résidentiel n’ont cessé de croître en Europe et en Belgique. Dans les années 1980-2000, cette croissance était d’ailleurs très soutenue car elle tournait autour des 10% annuel. Par ailleurs cette croissance était couplée avec une inflation qui s’élevait à près de 7 à 8 % l’an. Nous constatons depuis 2005 un net aplatissement de la courbe de l’évolution des prix de l’immobilier et même une baisse des prix ce 1er trimestre 2014.

Par ailleurs, l’inflation demeure très faible en Europe, de l’ordre de 2% l’an et les taux d’intérêt sont également très faibles. Toutes les conditions sont donc réunies pour estimer que nous traversons un moment favorable pour envisager un achat immobilier et un crédit Belgique.

Toutes les explications techniques résumées en quelques idées maîtresses dans notre article.

L’indice des prix du logement baisse en Europe et en Belgique

L’indice des prix des logements mesure l’inflation sur le marché des propriétés privées. Cet indice suit les changements de prix des propriétés résidentielles neuves ou existantes achetées par les ménages, quel qu’en soit le but (mise en location ou occupation à titre personnel).

L’indice belge des prix des logements baisse de 1,6% au premier trimestre 2014 par rapport au trimestre précédent.  Le taux d’inflation annuel s’établit à -1,1%. L’inflation moyenne s’élève à 1,2% en 2013.

L’indice des prix des  logements de la zone euro et de l’Union Européenne du premier trimestre  2014 sera publié par Eurostat le 10 juillet 2014. En 2013, le taux d’inflation annuel moyen atteint -1,9% dans la zone euro et -0,9% dans l’Union Européenne. Plus d’informations sur l’indice des prix des logements

Evolution des prix de l’immobilier en Belgique

En analysant l’évolution des courbes des prix des maisons, appartements et villas en Belgique, nous constatons un aplatissement de la courbe très marqué depuis 2010.

Il semble donc que l’époque de la hausse constante des prix de l’immobilier soit derrière nous.

Il s’agit d’une bonne nouvelle pour les candidats acheteurs – emprunteurs.

Par contre, les investisseurs peuvent sans doute commencer à revoir leur stratégie si ils veulent bien ne pas perdre de vue que les courbes d’évoltion des charges continuent sans cesse à augmenter. L’immobilier demeure un investissement qui entraîne une plus-value nette mais bien moins importante que par le passé.

Evolution des taux d’intérêts

Le niveau des taux hypothécaires est en fait lié aux taux obligataires en vigueur sur les marchés financiers, et qui varient chaque jour. Lorsque les taux obligataires baissent, les taux hypothécaires baissent également, les institutions de crédit se contentant de suivre le marché.

En simplifiant, on peut expliquer rapidement comment évoluent les taux obligataires : en général, ils évoluent dans le même sens que les Bourses.

Depuis quelques années et suite aux crises financières, les investisseurs ont opté pour des produits financiers plus sécurisants telles les obligations. De ce fait, leurs rendements ont fortement baissé ainsi que les taux d’intérêts.

Nous traversons une période où les taux d’intérêts sont historiquement bas : au crédit populaire, nous somme en mesure de vous garantir un taux de 3,5 % sur une période de 20 ans (taux fixe).

Utilisez nos simulateurs de frais

Lorsque vous faites un achat immobilier, vous ne devez pas perdre les frais accessoires qui se greffent au prix d’achat. Ces frais sont essentiellement de deux ordres.

Nos simulateurs vous permettent d’avoir une vue d’ensemble très précises des frais qui vont grever votre achat : c’est un outil très pratique.

Notre spécialiste crédit hypothécaire

Mme Jacqueline Legrand sera votre conseillère particulière dans votre achat : Jacqueline gère des crédits hypotéhcaire depuis plus de 30 ans, elle est incontournable sur ce marché et est votre garantie de dénicher le taux d’intérêts et la formule d’emprunt la plus adaptée à votre demande.

Contact : Mme Jacqueline Legrand : téléphone : 04/387.73.78 – Mobile : 0486/77.66.97

Visitez notre site internet : www.cpe-credit.com

Vos questions les plus fréquentes en matière de crédit hypothécaire : toutes nos réponses ici

assurance

Le saviez-vous ? La Région Wallonne peut souscrire pour vous et à ses frais, auprès d’une compagnie agréée, une police d’assurance contre la perte de vos revenus. L’assurance est totalement gratuite et le bénéficiaire ne devra pas rembourser les sommes éventuellement versées par la compagnie en exécution de ladite assurance. Il s’agit donc d’une garantie non négligeable pour assumer les engagements financiers liés à votre emprunt hypothécaire.

Qu’est-ce que l’assurance perte de revenus ?

L’assurance perte de revenus est une assurance qui garantit à ses bénéficiaires une intervention dans le remboursement de leur prêt hypothécaire, en cas de perte d’emploi totale et involontaire, d’incapacité de travail totale ou de mise en disponibilité.

Les remboursements seront limités en fonction de la perte de revenus subie.
Dans quels cas peut-on en bénéficier ?

Vous pourrez bénéficier de l’assurance perte de revenus si vous souscrivez un emprunt hypothécaire en vue :

  • De construire ou d’acheter une habitation neuve dans le secteur privé (achat d’une maison, d’un appartement clef sur porte, d’un gros-œuvre) ;
  • D’acheter une habitation dans le secteur public (par exemple, vendue par la SNCB, une commune, le CPAS) ;
  • D’acheter, dans le secteur privé, une habitation existante et y effectuer des travaux de réhabilitation couverts par le prêt pour un montant minimum de 7.500 € hors TVA ;
  • D’effectuer, dans votre logement, des travaux de réhabilitation couverts par le prêt pour un montant minimum de 16.150 € hors TVA ;

Quelles sont les conditions ?

  • Le prêt hypothécaire doit être contracté exclusivement par le demandeur et son futur conjoint ou concubin éventuel ;
  • Le prêt hypothécaire doit être en premier rang. Toutefois, un prêt en deuxième rang peut être couvert en cas de construction ou de rénovation si le prêt en premier rang a servi à financer l’achat du terrain ou du logement et si le prêt en premier rang n’a pas déjà été couvert par une telle assurance ;
  • Vous devez disposer d’une situation professionnelle stable à la date d’introduction de la demande ou de la passation de l’acte de prêt, si celle-ci est postérieure. La loi exige soit que vous travailliez au moins à mi-temps sous statut ou sous contrat à durée indéterminée, soit que vous soyez indépendant à titre principal, soit que vous occupiez un emploi temporaire au moins à mi-temps dans l’enseignement, avec une ancienneté de service de 8 ans minimum.
  •  Votre logement doit être situé en Région wallonne et doit être destiné en ordre principal à l’habitation. La partie du logement éventuellement affectée à un usage professionnel devra de ce fait être inférieure à 50 % de la superficie totale.
  • A la date de la demande et dans la période de deux ans qui précède cette date, le demandeur et/ou son (futur) conjoint ou concubin – même s’il n’apparaît pas dans l’acte de prêt – ne peuvent pas, seul(s) ou ensemble, posséder ou avoir possédé un autre logement en pleine propriété ou en plein usufruit. Une dérogation est toutefois autorisée si le logement est reconnu non améliorable ou inhabitable.
  • Le demandeur et son (futur) conjoint ou concubin doivent s’engager à ne pas vendre ni louer le logement en tout ou en partie, à y établir leur résidence principale et à consentir au contrôle par l’Administration du respect des engagements précités.

Quelle est l’étendue de la couverture ?

L’assurance perte de revenus couvre le paiement de votre prêt à concurrence de 6.200 € maximum par an, pour une durée maximale de 3 ans et pour une perte de revenus intervenue au cours des 8 premières années du prêt.

Quelle est la procédure à suivre ?

Votre dossier complet  doit être introduit auprès du Service Public Wallonie (Département du logement), au plus tard 6 mois après la passation de l’acte authentique de prêt.

Pour plus d’informations sur nos prêts hypothécaires, rdv sur notre rubrique /solutions-credit/solutions-immo/pret-hypothecaire

Tout un chacun peut avoir affaire à la justice un jour ou l’autre tant pour se défendre que pour mener une action litigieuse. Les frais de procédure, les honoraires d’avocat et les frais d’expertise constituent un coût non négligeable. Bien que le législateur prévoit une indemnité de procédure au bénéficie de la partie triomphante, celle-ci s’avère souvent insuffisante pour couvrir tous les montants engagés. Jetons un œil sur l’assurance protection juridique.

Notion assurance protection juridique

L’assurance Protection Juridique a pour objet de vous permettre de faire valoir vos droits en tant que demandeur ou défendeur, soit dans une procédure judiciaire, administrative ou autre, soit en dehors de toute procédure.

L’assureur Protection Juridique s’engagera, moyennant le paiement d’une prime d’assurance, à supporter tous vos frais de défense.

Tel sera le cas par exemple si vous avez reçu une citation à comparaître devant le tribunal de police ou si vous souhaitez obtenir une indemnisation des dommages subis lors d’un accident de la route.

La clause d’objectivité

Généralement, l’assureur protection juridique tentera d’abord de régler votre dossier amiablement.

Si vous n’êtes pas d’accord avec le point de vue de votre assureur, vous avez le droit d’actionner la clause d’objectivité et de consulter l’avocat de votre choix.

Trois cas de figure sont alors possibles :

  • •    Si l’avocat confirme la thèse de l’assureur, la moitié des frais et honoraires de la consultation vous sera remboursée.
  • •    Si l’avocat consulté confirme votre position, l’assureur sera tenu, quel que soit l’issue de la procédure, de fournir la couverture, y compris pour les frais et honoraires de la consultation.
  • •    Si vous entamez une procédure à vos propres frais, à l’encontre de l’avis de votre avocat, et que vous obtenez un meilleur résultat que celui que vous auriez obtenu en acceptant le point de vue de l’assureur et celui de l’avocat, les frais et honoraires ainsi que les frais de consultation seront pris en charge entièrement par votre assureur.

Il n’est pas exclu qu’un conflit d’intérêt puisse survenir lorsqu’un seul et même assureur couvre un seul et même assuré en responsabilité civile et en protection juridique par exemple.

C’est pourquoi nous vous recommandons de souscrire votre assurance protection juridique auprès d’une compagnie différente.

Le libre choix de l’avocat vous permettra en outre de pallier à ce conflit d’intérêt.

En principe, si vous êtes au chômage vous ne pouvez pas emprunter car votre indemnité de chômage n’est pas saisissable sauf si vous avez un aval c’est-à-dire une personne qui s’engage avec vous et qui a des revenus saisissables. En outre, si vous êtes propriétaire d’un immeuble de rapport, et que vous disposez de revenus locatifs, vous pouvez emprunter dans le cadre d’un prêt hypothécaire.